A/la naissance d'un mouvement: les origines:
C’est en Angleterre que tout a commencé.
Dès 1976, l’inflation a battu tous les records, même les fonctionnaires qui ne craignent pourtant pas le chômage sont en grève. La vie est devenue si chère que les manifestations se multiplient et tournent souvent à l’affrontement physique avec les bobbies ; De plus la jeunesse punk craint pour son avenir, le parti conservateur avec à sa tête Margaret Thatcher (première ministre entre 1975 et 1990) prends des mesure parfois radicale pour redresser l’économie du pays, ce qui favorise le développement du nihilisme et du “do it yourself” chez les punks.
La crise est si importante que l’empire britannique rayonnant peu auparavant à l’international est obligé de demander de l’aide pour renflouer ses caisses.
Alors que la musique disco doit son succès grâce à une société toujours plus capitaliste et consommatrice; Les punks crient leur haine du monde moderne.
C’est donc contre une société “pourrie” et qui s’enraye que les punks se révoltent. Mouvement avant tout musical,(mouvement qui brise les mœurs) , propose une musique primale et bestiale. Ce sont donc des morceaux courts et au tempo rapide qui seront composés. Le look des punks illustre leur style musical qui marque un contraste fort avec le rock’n’ roll flamboyant des sixties et la colatitude des seventies.
Les punks incarnent le désarroi d’une rue abandonnée par les politiques (parti conservateur). Cette jeunesse adopte des codes vestimentaires et esthétiques antagoniste aux règles dominantes de l’époque: iroquoise teintée, avec des vêtements souvent issus de récupération tel que les vestes et blousons cloutés et comme une première mutilation.
La bourgeoisie que les punks méprisent tant est choquée; La provocation est une des armes utilisée par les punks pour se révolter. Les bourgeois les trouvent repoussants et c’est l’effet voulu.
Le
mouvement punk a puisé ses influences de plusieurs référence et
époque, en mélangeant constamment des genres comme le fait le
groupe les Sex pistols. Ces se groupe anglais qui répand en 1976, à
Londres, cette popularisation de cette esthétique punk, des origines
du mouvement et de sa mode via les médias et les Sex pisols qui
devient donc le groupe emblématique du mouvement grâce à son
histoire et ces codes vestimentaires ; avec le célèbre
tee-shirt « I hate pink Floyd » que portait le chanteur
John Lydon, leader du groupe. C’est en Angleterre que tout a commencé.
Dès 1976, l’inflation a battu tous les records, même les fonctionnaires qui ne craignent pourtant pas le chômage sont en grève. La vie est devenue si chère que les manifestations se multiplient et tournent souvent à l’affrontement physique avec les bobbies ; De plus la jeunesse punk craint pour son avenir, le parti conservateur avec à sa tête Margaret Thatcher (première ministre entre 1975 et 1990) prends des mesure parfois radicale pour redresser l’économie du pays, ce qui favorise le développement du nihilisme et du “do it yourself” chez les punks.
La crise est si importante que l’empire britannique rayonnant peu auparavant à l’international est obligé de demander de l’aide pour renflouer ses caisses.
Alors que la musique disco doit son succès grâce à une société toujours plus capitaliste et consommatrice; Les punks crient leur haine du monde moderne.
C’est donc contre une société “pourrie” et qui s’enraye que les punks se révoltent. Mouvement avant tout musical,(mouvement qui brise les mœurs) , propose une musique primale et bestiale. Ce sont donc des morceaux courts et au tempo rapide qui seront composés. Le look des punks illustre leur style musical qui marque un contraste fort avec le rock’n’ roll flamboyant des sixties et la colatitude des seventies.
Les punks incarnent le désarroi d’une rue abandonnée par les politiques (parti conservateur). Cette jeunesse adopte des codes vestimentaires et esthétiques antagoniste aux règles dominantes de l’époque: iroquoise teintée, avec des vêtements souvent issus de récupération tel que les vestes et blousons cloutés et comme une première mutilation.
La bourgeoisie que les punks méprisent tant est choquée; La provocation est une des armes utilisée par les punks pour se révolter. Les bourgeois les trouvent repoussants et c’est l’effet voulu.
B/Les valeurs et revendications d'un mouvement de révolte
dans une Angleterre appauvrie en pleine désindustrialisation, en pleine rupture radicale avec l'industrialisation de la culture mais aussi des valeurs dominantes de cette société. Le mouvement punk est une révolte contre une société dite « une société de merde », aussi un mouvement qui joue avec les excès, les limites et le mauvais goût ( utilisation détournée des croix gammées, de l’étoile de David, du « sexe trash »…). Certains ont vu donc ce mouvement comme une révolte ou une sécession de la jeunesse, d'autres l'ont vu comme un phénomène de mode. Ce mouvement peut être aussi perçu comme des manifestations collectives qui concernent en premier lieux les publics « non punk » dont les affiliations et les motivations de la participation restent encore mal connues .
Beaucoup
plongent dans la drogue, le refus de tout, la musique
non-conventionnelle, etc. C'est aussi par esprit de révolte contre
un système
qui ne leur offrait pas cet avenir que les Sex Pistols lancèrent le
« No Future », appelant à la révolte contre l'ordre
établi et la morale bourgeoise.
En effet, on oublie la plupart du temps de mentionner que ce slogan,
si caractéristique du mouvement punk à ses débuts, ne
cite que les deux premiers mots de la phrase complète...
qui est : "No future... for
you !"
(Pas de futur pour
vous ! —cette
invective s'adressant, bien entendu, aux "bien-pensants" de
tous poils..).
Un membre de
Métal Urbain, Éric Débris, a écrit qu'à cette époque, le monde
n'était pas en couleurs mais en noir et blanc.
Ce discours,
souvent à l'origine extrêmement sombre et pour certains tourné
vers l'auto-destruction, cohabite avec l'ambiance fun
et destroy,
des concerts et une certaine insouciance alcoolisée à la bière qui
règne souvent dans les concerts. Dès le début des années 1980,
une nouvelle forme de révolte prend la place : beaucoup de
groupes punk se politisent, pour le droit des femmes, contre le
racisme, etc. C'est notamment ce que portent les Bérurier Noir,
dénonçant l'état du monde, l'égoïsme des hommes, et militant en
musique pour un monde plus noble,
plus libre, d'où seraient éradiqués racisme, sexisme, pollution,
guerres, etc.
C/ Caractéristique du mouvement punk
A la fin des années 70, alors même que le mouvement hippie (flower power et pattes d'eph') perd du terrain, la culture punk et sa mode prennent leur marques. Les jeans se déchirent, le tee-shirt se salit, le perfecto ou blouson de cuir du rockeur se customise à renfort de badges, clous, chaînes de vélo, épingles à nourrice et têtes de mort.
Aux pieds, les célèbres Creepers sont de rigueur. Sinon, on peut toujours opter pour une paire de docs noires ou de rangers récupérées dans un surplus de l'armée.
Petite variante possible pour les filles, la résille noire déchiquetée et la jupe en tartan rouge et noire.
Côté capillaire, c'est finalement assez simple : on rase tout, à l'exception du dessus du crâne que l'on va lisser, à la verticale sur le dessus de la tête pour obtenir la fameuse crête dite iroquoise (en anglais "mohawk"). Existe aussi la coupe hirsute ou en pétard comme Sid Vicious, des Sex Pistols.
Touche finale au look punk : les accessoires. Collier et bracelets cloutés, piercings, tatouages ostentatoires et maquillage outrancier, rouge sur les lèvres, charbonneux autour des yeux parachèvent le total look punk. Mais rien ne sert d'arborer le look punk, encore faut-il avoir l'état d'esprit.
(image de la BD Punk Rock Jesus de Sean C.Murphy)-->
Moi contre le monde
Subversion, rébellion, détournements de l'ordre établi, anarchie, "No Future" Ces jeunes voyous (signification française du mot "punk"), ces marginaux qui vivent par quinzaines dans des squats, ont une attitude de rébellion systématique envers la société de consommation.
Ce qui transparaît bien évidemment dans leur style de vêtements : sales, abîmés, troués, déchirés souvent rafistolés à l'aide d'une épingle à nourrice, parce que pas assez d'argent pour acheter du neuf. Un système D, mais aussi un "Do It Yourself" comme on le dit souvent pour qualifier la philosophie punk.
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